«Il ne faut pas juger une personne parce qu’elle a besoin d’aide, mais plutôt lui tendre la main»

Impliquée dans les Cercles des Fermières depuis 2002, Jocelyne Dancause, puéricultrice de profession, a été l’instigatrice de l’implication du Cercle de Rivière-du-Loup envers la cause de la Fondation Olo en 2004. La Fondation Olo a rencontré Jocelyne lors du Congrès provincial des Cercles des Fermières 2017 et lui a posé quelques questions.

 

Olo – Pourquoi avez-vous choisi de soutenir la Fondation Olo?

Pour moi ce qui est important à la Fondation Olo, c’est le lien qui se fait entre la personne du CLSC et la maman. C’est un bon jumelage. Si la maman a des difficultés, elle peut se référer à son intervenant(e) et pourra aller chercher de l’aide pour elle et son bébé. Olo c’est Œuf-Lait-Orange, mais pour moi, le plus important est le lien humain.

J’ai été témoin des bienfaits d’Olo, car j’ai une nièce qui en a eu besoin. À ce moment-là, j’étais rassurée de savoir qu’elle aurait un suivi personnalisé et du soutien.

Je suis certaine que si je demandais autour de moi si les gens connaissent une personne de leur famille proche ou éloignée qui a eu besoin d’Olo ils lèveraient tous la main!

 

Que diriez-vous à d’autres personnes (ou d’autres Cercles de Fermières) qui songent à soutenir la Fondation Olo?

Je leur dirais qu’il est important de se soucier de la prochaine génération. Si on veut avoir des Fermières, il faut d’abord avoir des jeunes filles qui sont en santé et qui sont bien développées. Et qui de mieux pour aider des femmes et des filles que d’autres femmes! En tant que femmes nous connaissons ce qu’est la maternité, ce qu’elle apporte de beau, de grand, mais de difficile aussi. Il ne faut pas juger une personne parce qu’elle a besoin d’aide, mais plutôt venir lui tendre la main.

 

La Fondation Olo remercie madame Dancause ainsi que les Cercles de Fermières du Québec pour leur soutien et leur grande fidélité à la Fondation Olo. En 2016, les CFQ ont fracassé leur record en amassant 161 794$ pour des bébés en santé. 

 

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Propos recueillis par Laurence Courteau