Bonduelle, partenaire Grand Complice de la santé des tout-petits!

Lors de cette publication, l’entreprise vivait sous la marque Bonduelle. Depuis le mois de novembre 2022, c’est sous l’identité Nortera que l’entreprise grandit dorénavant.

En 2019, la Fondation Olo a revisite son trio d’aliments emblématique en y ajoutant les légumes surgelés (Œufs, lait et légumes surgelés). Un changement à succès rendu possible grâce au précieux soutien de Bonduelle. D’ailleurs, après bientôt 3 ans de collaboration, l’entreprise aura généreusement donné près de 250 000 $ pour encore plus de bébés et de familles en santé. Au nom de toute l’équipe de la Fondation Olo, merci Bonduelle, partenaire Grand Complice, pour votre engagement!

 

Aujourd’hui, nous avons la chance de pouvoir discuter de cet engagement et de ce qui fait la belle collaboration entre nos deux organisations avec Christian Malenfant, Vice-Président Marketing, R&D, RSE chez Bonduelle.

Tout d’abord, Monsieur Malenfant, pourriez-vous nous parler un peu plus de l’entreprise Bonduelle?

Créée en 1853, Bonduelle est le référent mondial du bien-vivre par l’alimentation végétale. Si aujourd’hui nous sommes sur toutes les tables d’Amérique du Nord, c’est que nous mettons tout en œuvre pour que chacun puisse bien-vivre par une alimentation végétale saine et durable. Notre raison d’être : Nous inspirons la transition vers l’alimentation végétale, pour contribuer au bien-être de l’Homme et à la préservation de la planète. Bien implantée en Amérique du Nord, Bonduelle exploite 13 usines à travers le Canada et les États-Unis, dont 4 au Québec, où elle se spécialise dans les solutions de repas végétales prêtes à l’emploi.

En plus d’assurer la production de grandes marques de distributeurs et de détaillants, Bonduelle commercialise également ses propres marques, notamment Bonduelle, Arctic Gardens et Del Monte au Canada.

À la Fondation Olo, nous sommes fier(e)s de vous compter parmi nos Grands Complices. De votre côté, pourquoi votre entreprise a-t-elle choisi de soutenir la Fondation?

Ce partenariat est une manifestation concrète du désir de l’entreprise d’être un acteur dynamique du changement en matière d’alimentation et de santé. En tant que transformateur en alimentation, nous estimons qu’il est de notre devoir de contribuer à assurer une saine alimentation aux futures mamans et aux jeunes familles, tout en contribuant à améliorer les habitudes alimentaires. Notre engagement auprès de la Fondation Olo est une manière concrète de faire en sorte que les enfants puissent apprécier la saveur des légumes tôt dans la vie.

Au-delà d’un amour pour les légumes, qu’est-ce qui vous rejoint le plus dans la mission de la Fondation Olo?

L’importance d’agir tôt dans la vie auprès des populations vulnérables afin de donner une chance égale aux familles et mettre au monde des bébés en santé. C’est une mission qui nous rejoint et qui est parfaitement alignée avec celle de la Fondation Louis Bonduelle, qui est de « permettre à chacun d’avoir les clés pour transformer durablement son comportement alimentaire par une alimentation végétale acceptable, accessible et disponible ».

Pourquoi est-ce important à votre avis que des entreprises comme la vôtre soutiennent des causes et aient une implication sociale?

En tant qu’entreprise familiale tournée vers le long terme et responsable de l’alimentation de millions de consommateurs à travers la planète, nous voulons être un acteur engagé. C’est donc pour nous une responsabilité de bien faire les choses. Nous nous engageons pour que notre impact économique et social soit positif pour la planète, la société, les Hommes.

Nous aimons toujours finir sur une touche qui nous est chère, celles des souvenirs de repas en famille! Racontez-nous une anecdote sur comment se déroulent les repas familiaux chez vous?

Nous avons encore aujourd’hui l’habitude de préparer un plat de crudité lors de l’apéro en avant-première du souper du samedi soir en famille lorsque nous sommes à la maison. Nous sommes fiers d’avoir transmis à nos enfants cette saine habitude alimentaire. Et ça me rappelle mon plus jeune lorsqu’il avait 4 ans me poser cette question avant un repas en famille en regardant les petites bouchées : « Papa, est-ce que c’est ça une péro? ». Savoureux.